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Mathilde Giffard

RMN en phase solide biomoléculaire : application à la paroi cellulaire bactérienne et nouvelles approches méthodologiques

Publié le 2 décembre 2010
Thèse soutenue le 02 décembre 2010 pour obtenir le grade de docteur de l'Université de Grenoble - Spécialité : Chimie Physique Moléculaire et Structurale

Résumé :
La RMN en phase solide est une méthode non négligeable lors de l'étude d'échantillons biologiques. Nous avons ainsi pu étudier le peptidoglycane et les acides téichoïques, composants essentiels de la paroi cellulaire bactérienne. Nous nous sommes tout particulièrement intéressés à leur organisation, à leur flexibilité et à leur interaction avec les cations. Nous avons également étudié les interactions entre les acides téichoïques et une protéine responsable de la virulence des pneumocoques. Cet exemple illustre parfaitement le manque de sensibilité des expériences de RMN ainsi que les limites des techniques actuelles de recouplage. Nous avons alors mis en évidence un phénomène permettant d'accélérer l'acquisition des spectres. Nous avons aussi travaillé à l'amélioration des séquences de recouplage PAR et PAIN-CP. Finalement, nous avons comparé des méthodes d'édition spectrale appliquées au bois, très étudié dès les débuts de la RMN en phase solide.

Jury :
Président : Pr Serge Perez
Rapporteur : Dr Anne Lesage
Rapporteur : Pr Christian Bonhomme
Examinateur : Dr Michel Bardet
Examinateur :  Dr Sabine Hediger
Examinateur : Pr Marc Baldus
Thèse dirigée par Michel Bardet et codirigée par Sabine Hediger

Mots clés :
RMN en phase solide, paroi cellulaire bactérienne, peptidoglycane, acides téichoïques, protéine, relaxation longitudinale, diffusion de spin, excitation sélective, recouplage, bois archéologiques

Thèse en ligne.